Salut ! Présentez-vous !
Salut, notre groupe s’appelle Barque, on est quatre : Alexis (Batterie) Thomas (guitare) Straz (basse et backs) et Antoine (chant). On propose un mix de Dark Hardcore, de Punk et de Screamo sous ce line-up depuis 2015.
Comme tu dis, Barque distille une musique Hardcore teintée de Black. Comment vous est venue l’idée de vous mettre à ce style ?
Pour être tout-à-fait honnêtes, il n’y avait rien de prémédité. Au tout début, on partait sur une veine plus Punk Hardcore, qui s’est précisée au fil des mois. Je pense que les influences très diverses de chacun nous ont aidés à mieux définir notre son, dans le sens où nous essayons de rester cohérents et sincères, sans pour autant nous limiter à un style bien défini.
Parlez-nous un peu de Coffin Cutters et de The Necromancer. Quelles différences entre ces deux EPs ?
À vrai dire, beaucoup de choses les séparent, à savoir, le line-up, le travail de composition, mais aussi notre démarche. The Necromancer a été réalisé dans l’optique d’un titre « demo », en écoute et en téléchargement libre, alors que Coffin Cutters est notre premier véritable EP.
Où les avez-vous enregistrés ? Avec qui ?
The Necromancer a été enregistré dans notre local de répétition, puis mixé et masterisé par Sébastien Czeryba tandis que Coffin Cutters a été enregistré par notre ami Nicolas Tarridec au BBK studio. Le mixage et le mastering ont été réalisés par Role Echolotse de Die Tonmeisterei.
Les deux covers sont également très différentes ! Vous avez changé de graphiste, non ?
Effectivement, les deux artworks sont très différents. Nous avons la chance d’être entourés d’amis dont nous apprécions particulièrement le travail. Il paraissait alors évident de travailler à divers niveaux avec eux. C’est donc Spyre, qui nous aide également pour nos sérigraphies, qui a réalisé notre première illustration, celle de The Necromancer, et c’est le travail du photographe Nicolas Djavanshir que nous pouvons retrouver avec Coffin Cutters.
Dernièrement, dans le Nord, il y a eu le Tyrant Fest. Avez-vous eu des échos de ce festival ?
Bien évidemment… D’ailleurs, certains d’entre nous, les chanceux qui ne travaillaient pas ce week end, s’y sont rendus. Avec une programmation pareille, ça aurait été dommage de s’en priver. Ce fut un super week end. L’organisation était au top, l’ambiance ultra chaleureuse et, on a eu l’occasion de revoir plein de potes. Certains d’entre eux s’y sont produits comme The Lumberjack Feedback ! Mention spéciale à Wiegedood et son set vraiment impressionnant.
Où pourrons-nous voir Barque en concert prochainement ?
Actuellement, nous faisons une petite pause, nous composons de nouveaux titres dans le but de proposer un nouveau set. Nous projetons alors de reprendre les dates en 2018. Pour l’instant, nous avons confirmé deux dates avec le groupe anglais Hundred Year Old Man, en février (le 2 à Boulogne-sur-Mer et le 4 à Mouscron, NDLR) et travaillons sur d’autres créneaux que nous confirmerons dans quelques semaines.
Les groupes de Post Hardcore, très sombres, commencent à se faire voir dans le Nord. Que pensez-vous de cette scène ? Y a-t-il un groupe avec qui vous vous entendez particulièrement bien ?
Je ne sais pas si on peut parler d’une véritable scène à part entière, mais il est sûr qu’une quantité assez incroyable de très bons groupes est proposée actuellement. Nous avons d’ailleurs eu l’occasion de nous produire avec des groupes que nous apprécions particulièrement comme Hierophant, Totem Skin, Jungbluth et Oathbreaker, mais également avec nos potes de Veto, Link, Daggers… Et on espère bien allonger cette liste très prochainement.
Le dernier mot est à vous !
Merci à toute l’équipe d’Heretik Magazine et on a hâte de pouvoir partager nos nouveaux titres avec vous en 2018.
Pour contacter : https://www.facebook.com/barquecurses/
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