#TPAMU – Cryptic Process

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Cryptic Process.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister


« Cryptic Process se compose de deux membres : Ugo à la guitare et programmation batterie ainsi que Damien (moi) au chant. C’est une line-up assez atypique, mais ce projet est né durant la pandémie. En fait, nous sommes de vieux potes et nous voulions juste refaire du son ensemble. D’ailleurs à la base nous ne faisions que des jam basiques guitare/batterie sur des reprises, juste pour s’amuser, puis rapidement Ugo est arrivé avec quelques riffs typés bien Brutal Death et il a vite été évident que nous crevions d’envie de refaire sérieusement du son brutal et technique. Ça a toujours été notre style de prédilection ! 

Concernant notre parcours musical, nous sommes d’anciens membres et fondateurs de Goryptic (et Heresy). Nous avons tous les deux eu un parcours dans le Grindcore pendant plusieurs années : Ugo a été guitariste dans Trepan’Dead, tandis que moi j’étais chanteur dans Unsu. Notre style peut se rapprocher un peu de Goryptic, mais nous voulions repartir d’une page blanche avec ce nouveau projet ! Nous considérons que nous repartons de zéro, malgré nos passifs.

Le nom Cryptic Process s’est imposé naturellement à nous, car notre processus créatif est assez atypique, voire même étrange / barré. Les riffs et rythmiques sont assez bizarres et alambiqués. Ce n’est quasiment jamais de la composition en 4/4, nous aimons quand c’est tordu et que ça demande un effort de compréhension et d’écoute. Nous aimons quand il y a du mouvement dans une composition, des breaks fracassants, des parties blast à fond, en sommes quand c’est bien varié. Il est important d’apporter ce contraste dans un titre afin de ne jamais s’ennuyer que ce soit en le jouant ou juste en l’écoutant !

Au niveau des paroles c’est très varié et j’aborde beaucoup de sujets différents. Il y a des lyrics sur l’absurdité actuelle de notre monde, la vie engluée dans ces réseaux, cette surconsommation compulsive, mes expériences personnelles, mais également des paroles totalement space sur des entités nous rendant visite (des êtres d’une autre dimension hostile par exemple). Nous ne sommes pas dans le délire ultra « gore » comme la majorité des groupes de notre style, mais il y en a quand même çà et là. Cependant nous essayons de créer des vraies histoires et pas juste dire « Kill Kill, Blood, Guts ». D’ailleurs, une bonne moitié des paroles sont en Français. Pour moi, le chant est avant tout un instrument avec de multiples sonorités à exploiter, qui doit apporter un liant à l’ensemble et rendre la composition encore plus massive et violente. Les variations vocales sont très importantes, autant que les variations des autres instruments.

En termes d’influences, nous aimons beaucoup de groupes comme GoratoryNecrophagistCryptopsyDying FetusAborted ou encore Infant Annihilator. Et des choses un peu plus « old-school » comme PanteraCarcass, etc… Nous écoutons aussi d’autres styles totalement différents qui peuvent apporter une ouverture dans nos propres compositions.

Nous avons donc bossé et composé intensément pendant deux ans et demi. Chaque semaine, nous revenions sur chaque partie, chaque note, nous avons fait un gros taff sur les arrangements et l’équilibre des morceaux, Ugo a passé énormément de temps sur la batterie et la basse afin que cela soit parfait. Nous sommes arrivés à neuf titres et il fallait en faire quelque chose de concret ! En août 2023, nous sommes donc entrés en studio pour enregistrer notre premier album, Human Snack, composé de ces neuf morceaux. Il sortira en décembre en version physique digipack et bien sûr il sera dispo sur toutes les plateformes de streaming. Nous avons tout fait de A à Z pour l’enregistrement, le mix et mastering et visuels !

En juin, nous avions balancé un titre sur Youtube « Awakening Before This » juste pour voir les retours, car personne ne nous connaissait ! Très rapidement, après la sortie de ce clip promo, nous avons été contactés par plusieurs labels qui étaient intéressés par notre son ! Nous en avons retenu deux, à savoir Crypt of Dr. Gore et Drowning in Chaos Records. Ils sont ultra-chauds pour nous aider à faire un maximum pour la promo du groupe ! 

Prochaine étape pour nous : les concerts ! Nous travaillons actuellement sur la préparation du live à deux sur scène avec un ingé son pour gérer les batteries & basse en multipistes afin d’adapter et envoyer au maximum dans les gueules ! Nous ne connaissons pas l’avenir, si ça se trouve nous allons trouver un très bon batteur dispo dans le secteur. Nous savons qu’il y a des gens qui pensent que, sans batterie, ça ne vaut pas le coup, mais à nous de prouver le contraire, car c’est une toute nouvelle expérience. Nous sommes les premiers à nous interroger sur le sujet, mais l’expérience prouvera si – oui ou non – ça le fait ! »

Pour plus d’informations : https://www.facebook.com/crypticprocess

#TPAMU – Vector

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Vector.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister


« Nous sommes cinq musiciens de la région de Saint-Omer qui avons décidé un jour d’unir nos forces pour créer un nouveau groupe : Vector. Si vous voulez en savoir plus, suivez-nous. Nous allons déjà nous présenter. Vector est donc composé d’Aurélien (guitare), de David (guitare), de Jean-François (batteur), de Mat (bassiste) et Rémi (chanteur). Ça faisait longtemps que l’on parlait de monter un groupe de Thrash avec Aurel, Biggy (GanG) et moi (J-F de Spirit). On se connaît depuis quelques années et nous avons décidé de former Vector en juin 2022. nous avons commencé à jouer des compositions déjà faites auparavant par Aurel et Biggy. Il devait y en avoir trois ou quatre, puis au fur et à mesure des répètes, nous avons décidé de recruter un bassiste et un chanteur. Une fois le groupe en place au niveau des compos, on a pu tourner deux vidéos au local et par la suite enregistrer notre EP, Death of my Soul

Les guitares, basse et batterie ont été enregistrées par et chez Aurélien et le chant au studio Until the Rock. Le mix et le master ont été fait chez BGS Music par Laurent Bocquet. La musique est composée par Aurel et Biggy, quant aux paroles c’est Rémi qui s’y colle. Il se documente beaucoup sur la manipulation mentale (MK Ultra, Millgram, etc…) et sur les grosses théories du complot, mais également sur certains courants philosophiques ou autres sectes. Des films comme Equilibrium ou Scanners, entre autres, sont de véritables mines d’or.

Nos influences sont assez larges. Ça va de Judas Priest, Iron Maiden, Terror, Slayer, Metallica, Exodus, Dark Angel, Xentrix, Venom, Havok, Dust Bolt, Angelus Apatrida, Crisix, à Motörhead, Saxon, WASP, Mötley Crüe et Testament. Nous avons aussi des influences moins Metal, comme Led Zeppelin, Eric Clapton, Rush, Red Hot Chili Peppers. Il y a Prong, qui est très certainement la plus grosse influence de Rémy, tout comme Killing Joke, Misery Index, Machine Head et beaucoup d’autres. Mat aime aussi le Groove, le Funk, et il ne pense pas que ce soit incompatible avec le Thrash, bien au contraire. Il écoute aussi beaucoup de Heavy, comme chacun d’entre nous, d’où le côté « mélodique » qu’on peut retrouver dans Vector et il est aussi assez sensible à la musique classique, qui peut avoir un côté épique et violent.

Actuellement, nous sommes en train de composer des nouveaux titres pour sortir notre premier album d’ici le troisième trimestre de 2024. Nous avons déjà cinq nouveaux morceaux qui tournent, trois autres sont en phase de mise en place et nous avons pas mal d’idées afin de sortir un album qui va vous clouer ! On devrait également sortir un clip dans les mois à venir.


En ce qui concerne notre agenda, vous pourrez nous retrouver le 25 novembre avec Hopkins au Soulgarden à Calais, le 03 mars à la Convention Metal de Fismes, le 30 mars au Festival de Chaulnes, le 13 avril au L.A Events Festival à Chalons-en-Champagne et 28 septembre au HRB Festival de Grenay. D’autres dates, bien sûr, viendront s’ajouter au fur et à mesure. »

Pour plus d’informations : 
https://www.facebook.com/Vectorthrashmetal

#TPAMU – Scarletter

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Scarletter.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister


« Scarletter est composé de Franck (guitare / chant), Leni (guitare lead / back voice), Jay (basse) et Saad (batterie). On est tous des passionnés de Rock et de Metal depuis notre adolescence, forcément, à un moment donné, tu as envie de monter ton groupe, de composer tes propres chansons et de monter sur scène ! Au début, on s’enregistrait nous-mêmes, mais à un moment, on a voulu pousser le truc un peu plus loin en enregistrant dans un studio professionnel, avec quelqu’un qui aurait un regard objectif sur notre musique.

En 2015, Jay rejoint l’aventure pour créer ce qui aller devenir Scarletter. Le nom du groupe vient du roman La lettre écarlate » (The Scarlet Letter) qui raconte l’histoire d’une femme condamnée pour adultère, qui doit porter une lettre « A » écarlate en permanence sur sa poitrine. Ce roman explore les thèmes de la culpabilité, de la rédemption et de la répression sociale, tout en révélant les conséquences de l’infidélité dans une société puritaine rigide.

À l’été 2022, Leni rejoint le groupe un peu par hasard, en fait après une répète au studio C&P, Fred (qui tient le studio) nous dit : « Tiens, je connais une guitariste qui cherche un groupe, ça pourrait bien coller avec vous ! », et effectivement, il avait vu juste ! Depuis le groupe a beaucoup progressé musicalement et scéniquement.

Nos influences sont assez variées. On écoute tous les styles de Metal / Rock, mais si on doit citer quelques groupes on va dire Metallica, In Flames, Alter Bridge, Megadeth, Machine Head, Tool, Architects, Havok, Death Angel. Nous suivons également la scène lilloise et française, il y a une véritable scène Metal qui ne cesse de prendre de l’ampleur ! Landmvrks, Novelists, The Dali Thundering Concept, Betraying the Martyrs, Rise of the Northstar, Akiavel, Resolve ! Plusieurs groupes Lillois ont joué au Hellfest, c’est juste génial! Un jour peut-être que ce sera à notre tour.

Dernièrement, nous avons terminé l’enregistrement de notre nouvel EP au studio C&P à Lille sous la houlette de Frédéric Pécqueur. Le mix/master est prêt, mais on ne veut pas le sortir maintenant… Nous voulons d’abord tourner un nouveau clip courant novembre – le premier avec la formation actuelle -, presser quelques exemplaires, en espérant sortir le tout début 2024.

On a eu la chance de faire pas mal de dates vraiment cool cette année, comme le « Metal CH4 » à Lens ou encore le « Haulfest » à Haulchin. On a aussi eu l’occasion de jouer au festival « Rock in Sissy ». Nous avons, dans un premier temps, participé au tremplin du festival dont le vainqueur gagnait le droit de jouer le lendemain en ouverture du « Rock in Sissy ». Pour ceux que ça intéresse, nous serons en concert le 4 novembre au « Winnezik Rock Festival » de Winnezeele. Nous avons vraiment hâte d’y être ! »

Pour plus d’informations : https://www.facebook.com/scarletterband

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#TPAMU – Krymson

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Krymson.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister et Axl Meu


« Krymson est constitué de Tommy Trigger (basse/chœurs), Alice Wright (chant/guitare lead), Hazel Dirt (guitare rythmique/chœurs) et plus récemment de Vik (batterie/chœurs). Hazel et moi (Tommy), nous connaissons depuis tout petits, et c’est après avoir vu le film « The Dirt », que nous avons eu envie de monter un groupe de Hard Rock. Nous avons par la suite rencontré Alice via des annonces de musicien sur Internet et plus récemment nous avons été rejoints par Vik, notre nouveau batteur. Nous écoutions les Misfits et c’est après être tombés sur le morceau « Crimson Ghost » qu’on s’est dit que « Krymson » aurait de la gueule comme nom de groupe.

Nous avons, cette année, enregistré notre premier album Born to Lose N’ Live to Die avec Riff Sound Studio qui s’est occupé du mix et mastering. Par contre, nous avons assuré l’enregistrement des prises guitares, basse et voix. Quant à la batterie, elle a été captée dans le studio d’un ami d’Alice. Les paroles de nos morceaux sont écrites par Alice et moi (Tommy), mais nous composons toujours la musique tous ensemble. Les textes de nos morceaux sont toujours basés sur nos expériences personnels. On essaie d’écrire sur notre vie – sur ce qui nous touche le plus – en espérant que le public se reconnaisse dans nos paroles.

Nous sommes principalement influencés par le Hard Rock et le Glam des années 70 et 80 et le Punk. Mais nous essayons d’apporter une touche plus moderne et de renouveler le style sans entrer dans une parodie ou du « revival ». Notre premier album va justement sortir en streaming avant la fin d’année et donc nous vous préparons – pour l’occasion – beaucoup de contenu inédit qu’on a hâte de vous présenter. Un nouveau clip est également prévu pour cette sortie numérique. En parallèle, nous essayons de vous concocter le meilleur des shows, aussi bien musicalement que visuellement.

Nous avons déjà notre prochain album en tête et nous avons très hâte de nous y mettre. Le fait de jouer avec d’autres groupes, nous a – bien évidemment – encore plus ouverts à d’autres styles, mais cela n’a pas fondamentalement changé notre mode de fonctionnement !

Pour ce qui est des concerts, nous allons nous produire le 22 septembre au Bidule à Lille avec FireLife et au CCL de Lille, le 30 septembre, avec Parquet. Nous avons aussi d’autres dates bookées pour la fin d’année et pour 2024. Vous pouvez nous suivre sur les réseaux sociaux pour être tenus au courant de toutes nos prochaines dates et les prochaines sorties. »

Facebook : https://www.facebook.com/krymsonband



#TPAMU – DROPS

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à DROPS.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister.


« Drops se compose de cinq membres, il y a Jérémy, lead guitariste, la force tranquille sur scène, il ne dit pas grand-chose, mais quand il se lâche c’est beau, Grenouille, guitariste rythmique, le militant ultra engagé du groupe et l’artiste du groupe, Quentin, Bassiste, Monsieur le Maire de Bully-les-Mines et acteur majeur de la scène H.F.H.C via Play Loud Asso, Pedro, batteur, machine de groove et grand amateur de voiture de sport, également un joyeux Gai-Luron et pour finir, Res, chanteur, relou du groupe et grand stressé de la vie, compositeur majeur jusque-là.

Le groupe s’est formé sur les cendres de Raise Your Shield. Pedro, Jérémy et Res ont décidé de rester ensemble et de partir sur un style plus « groovy », plus tranchant et surtout plus positif que ne l’était Raise Your Shield. Ensuite, on a recruté Grenouille qui nous vient de Reims, parce que c’est un vrai « Hardcore Kid » déterminé. On tournait autour de Quentin depuis un bail, il a pris la basse avec nous en avril 2023 suite au départ de Flo. Le nom du groupe, DROPS fait allusion à la pluie, car on est du Nord. (rires)

Jusque-là, les morceaux sont principalement composées par Res puis ajustés, aiguisés et revisités en répètes par le reste du groupe. Concernant les titres déjà sortis, on a bossé avec Jia du Purple Hive Recording Studios et Mathias du Shizuka No Studio. Les influences du groupe nous viennent principalement du Hardcore, plus précisément dans des idées groovy et positives, très axées Youth Crew, Straight-Edge – bien que le groupe ne soit pas un groupe « Straight-Edge » -, Backtrack, Trapped Under Ice, du Turnstile à l’ancienne également.

On est actuellement en pleine écriture/enregistrement de notre prochain projet complet, soit un EP soit un LP, on n’est pas encore sûr, sûr. Sept morceaux sont déjà confirmés, à voir si on pousse le délire un peu plus loin pour sortir un gros projet avec vinyle et tout le reste.

Pour ce qui est des prochaines dates, on en a deux/trois de prévues pour la fin d’année, mais rien d’annoncé officiellement si ce n’est le Barak Fest au Pharos le samedi 25 novembre prochain. »

Pour plus d’informations : https://www.facebook.com/DROPSHXC

#TPMAU – March Of Scylla

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à March of Scylla.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister


« March Of Scylla se compose de quatre membres : Gilles à la batterie, Florian au chant, Chris à la guitare, et Rob à la basse. Au départ, il s’agissait d’un projet studio de Greg (guitariste qui n’est plus dans le groupe) et de Chris, car à l’époque nous avions un autre groupe dans un registre différent qui nous occupait principalement. Puis, lorsque ce groupe s’est arrêté, nous avons décidé de nous investir pleinement dans March Of Scylla, qui ne s’appelait pas encore comme ça au tout début. Nous aimons beaucoup les thèmes mythologiques qui peuvent donner lieu à de nombreuses interprétations, comme en témoigne le titre « Eurydice » sur notre dernier EP. Chris est le principal compositeur en ce qui concerne la partie instrumentale, même si Gilles apporte sa touche pour les parties de batterie, quant à Flo, il écrit les textes et ses lignes de chant. Notre EP, Dark Myth, sorti en mai 2023, est autoproduit, sauf pour les prises de batterie et le mastering qui ont été réalisés par Francis Caste au studio Saint-Marthe sur la fin de l’année 2022.

Pour la composition, les influences de Chris sont nombreuses, idem pour Flo. Difficile de toutes les nommer, mais en y réfléchissant on peut citer des groupes comme Textures, The Ocean ou Devin Townsend pour l’aspect épique, et également certains groupes de la scène Post-Black, même si c’est une influence plus discrète. Dans un registre plus proche de ce que nous faisons, on peut également citer des groupes comme Caliban, Bleed From Within ou Northlane. Pour les textes, Flo s’inspire à la fois de son histoire personnelle et également de thèmes mythologiques. Toujours en donnant à ses paroles une dimension universelle susceptible de pouvoir résonner en chacun de nous. Notamment « Eurydice », le titre qui ouvre l’EP et qui fait référence à l’histoire d’Orphée qui ne parvient pas à ramener sa belle Eurydice des enfers. Flo utilise ce mythe pour évoquer la souffrance que l’on peut éprouver à voir sombrer un proche dans un mal-être profond sans pouvoir l’en sortir.

Quelques dates à la rentrée, que l’on peut retrouver sur la page Facebook du groupe, sont prévues, à savoir :  le Fertois Metal Fest le 9 septembre, à la Brat Cave à Lille le 29 septembre, au Mille et une Bières à Amiens le 1er décembre, ainsi que le 23 février au Coven Garden à Eragny. D’autres dates seront prochainement annoncées sur Facebook. Il y a également la composition du premier album qui est en préparation. Nous répétons déjà en ce moment des nouveaux titres qui seront sur ce futur album et c’est plutôt prometteur ! Nous avons hâte de pouvoir les jouer en live. »

Pour plus d’informations : https://www.facebook.com/MarchOfScylla

#TPAMU – 25 Hours

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à 25 Hours.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister


« Nous sommes 25 Hours, un trio du Montreuillois, il y a Alexx (batterie), Pierrot (basse) et Max (guitare/chant). On s’est formé aux alentours de 2016. Au début, on répétait comme à peu près tous les groupes pour le « fun ». On faisait beaucoup de reprises, histoire de jouer ensemble et de s’amuser, puis on en est arrivée à composer nos propres morceaux. Le premier album, In Dog We Trust, a été enregistré, en 2019, au studio du Bras d’Or à Boulogne-sur-Mer, mixé et masterisé par Bruno Dupont, le deuxième, The Red Line, est sorti en 2021 après le confinement. 

Pour le premier, on s’est enfermé deux jours dans un studio et on les a enregistrés le mieux possible, c’est plus un album « live ». Pour le deuxième, on a essayé d’appliquer tous les conseils de Bruno qu’on a pu absorber avec le premier. ça a pris plus de temps et surtout, on a fait beaucoup d’arrangements, on a passé beaucoup de temps là-dessus. C’était super intéressant, mais manque de bol, on a dû réenregistrer l’album car le premier jet a cramé, du coup le second enregistrement a été plus travaillé techniquement… Mais on a peut-être perdu le côté un peu brut de coffre du premier jet. Nos influences, on peut en citer dix chacun, mais au final, nous on joue du Rock, du Power Rock. 

En ce qui concerne le titre du dernier album (« The Red Line»), cette ligne rouge, c’est la ligne que le loup ne doit pas franchir pour ne pas devenir un mouton, mais que le mouton doit franchir pour se changer en loup. De nos jours, il vaut mieux être un loup, pour le mouton le travail est plus dur à faire pour passer de l’autre côté de cette ligne.

Nous avons plusieurs projets sur le feu. Dernièrement, nous avons enregistré quelques titres en acoustique. C’est un projet qui sortira en ligne. Aussi, nous allons sortir un EP regroupant quelques chansons de nos débuts jamais sortis que l’on enregistrera dans plusieurs studios. C’est un projet bien défini, mais qui va prendre du temps. Il y a aussi un deuxième clip aussi en prévision, tourné et réalisé, comme le premier par Christophe et Isa de Pro-Sono. En ce qui concerne les prochaines dates, on a remporté un tremplin à l’Opale Harley Days à Neufchâtel-Hardelot l’année dernière. Du coup on va jouer sur la grande scène le dimanche 17 septembre et la veille on jouera dans les bistrots. Par la suite, on aura des dates sur Boulogne en fin d’année. » 

FB : https://www.facebook.com/25Hours.Grp

#TPAMU – Fardeaux

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Fardeaux.

Une rubrique proposée par Axl Meu


« Fardeaux a débuté un peu avant la pandémie. Nous avons décidé de garder l’anonymat pour une simple raison qui sera détaillée plus bas. Il y a parfois des guests qui jouent ou joueront également le jeu de la discrétion. Nous jouons du Black Metal. On nous a parfois dit que nous faisions dans l’avant-garde mais à vrai dire, nous ne voulons pas vraiment nous décrire. Nous utilisons le terme Black Metal simplement car il définit une musique qui se doit d’être insaisissable car variante au fil du temps. Il se peut que l’un d’entre nous ait lu ça quelque part. Pour nous c’est la parfaite définition. De ce fait, mettre des visages ou des noms derrière ce projet ne servirait à rien, nos apparences restent les même. Seuls nos esprits évoluent. Un avant-goût de ce que nous voulons produire se trouve sur toutes les plateformes digitales. Vous pouvez également profiter d’un univers visuel via notre chaîne YouTube.
« Tindalos » et « Silver Crack » sont nos deux premiers singles sortis en 2021. Le troisième et dernier single introductif sortira le 20 Mai 2022 et s’appellera « Encore Loin L’Achèvement Des Proies ». Ils ont été enregistrés, mixés et masterisés au TalkBig Studios. Ils ont chacun leur clip. Pour le dernier, nous avons fait appel au Seigneur Hohenfeld et à son univers des cordes pour illustrer le concept. Vous pouvez admirer son art sur les réseaux.
Un album est déjà presque enregistré. Il a été écrit pendant le premier confinement. Il sera en lien d’une certaine manière avec ce qui se déroule dans nos trois chapitres précédents. Il n’y aura jamais de concerts pour Fardeaux. »

#TPAMU – Skanda

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Skanda. 

Une rubrique proposée par Axl Meu


« Nous c’est Skanda, groupe de la région lilloise. Le groupe sa été formé au début de l’année 2021 par Vincent, Maxime, David et Gwenn, des membres d’anciennes formations de la région.
On peut dire que l’on joue du Metal moderne, qui croise du Metalcore avec du Djent ou encore du Metal Progressif. On essaie de ne pas se fermer pas à un genre en particulier, c’est pour ça que l’on peut retrouver des touches de Death, de Black comme d’Ambient au niveau instrumental. Le but est de pouvoir passer par différents ressentis en écoutant nos titres, la technique, la mélodie ou encore le côté agressif des riffs se mêlent régulièrement.
Le 13 avril dernier, on a sorti notre tout premier album ΛSCENT. Dans cet album on a voulu présenter une musique sincère, intense et unique. Le groupe veut s’ouvrir dans cet album à un univers incisif et pose les fondations d’un mélange d’atmosphères mélodiques et d’ambiances agressives propres au Metalcore. On peut retrouver une version physique en digipack ainsi qu’une version numérique sur notre Bandcamp : https://skanda.bandcamp.com/releases
Concernant les concerts, nous en avons trois de prévus pour le moment. Un premier le 26/04 prochain à Lille, à la BratCave avec Caligula et Ocean Encounters, un deuxième à Tournai au Bout de Nos Rêves avec Rave On Binary et Hydra le 14 mai et un troisième avec MĀRA et Freak Factor au MCP Apache à Fontaine l’Évêque le dimanche 5 juin ! »

Pour plus d’informations : https://www.facebook.com/SkandaOfficial

#TPAMU – Deûle

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Deûle. 

Une rubrique proposée par Axl Meu


« Deûle est un trio composé par JB à la guitare, Elya aux synthés et chant, et Pierre à la batterie. Le groupe s’est formé fin 2020, d’abord par JB et Pierre qui sont frères, puis rejoints par Elya peu de temps après. On a beaucoup d’influences, surtout la Noise, l’Indus, le Black Metal et un poil de Krautrock, surtout dans les nouvelles compositions, et là on peut aussi parler du contexte : Ville grise, brumeuse, bétonnée, sale… C’est ça qui nous guide plutôt que les styles musicaux. En répétition, on parle souvent de Swans, Godflesh et Killing Joke, et de Black Metal. (Rires) En 2021 on a enregistré une démo, une partie dans notre local de répèt’ à la Malterie, l’autre dans une maison dans la campagne de Bourlon. On a tout enregistré au Zoom H2, et on a tout mixé nous même. Un EP « demo » 4 titres est né de ces sessions et sortira dans les semaines à venir. Concernant nos projets, une petite tournée viendra éventuellement pour cet été ou cet automne. on travaille actuellement sur un EP qui sera enregistré à la fin de l’année. »

Pour plus d’informations : https://deule.bandcamp.com/releases

#TPAMU – Dreef

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Dreef. 

Une rubrique proposée par Axl Meu


« Dreef est le fruit de compositions en solitaire. J’ai toujours composé dans mon coin en parallèle des groupes avec lesquels j’ai tourné (Big Bernie, Shaours, Bagger 288…). Mon amour pour les grands orfèvres de la Pop, comme Brian Wilson en tête, m’a poussé vers le travail de studio. Par pur plaisir, tout simplement. C’est dans ce contexte que j’ai rencontré Thibaut Camerlynck, je lui ai fait enregistrer quelques parties sur mon premier album et nous avons réfléchi à l’éventualité d’un « line-up live ». Thibaut était sur le point de monter un projet de tournée Rock en campagne « Du Bruit Dans Ta Grange », nous avons raccroché les wagons et Dreef a tourné un mois durant. Ce fut l’acte de naissance « live ». Dreef avait déjà proposé du contenu avant, notamment sur la compilation Verminoise. J’ai la chance d’être épaulé par des tonnes d’amis. Certains ont participé aux sessions comme Charly et Paul de Big Bernie, Ethan d’Exil, Myriam de Manic Maya, leslie de Ô a i o et bien d’autres.. Mais Thibaut, anciennement membre de RI333N est mon acolyte, nous faisons tout ensemble. Notre nouveau line-up est composé d’Anthony Hayet et Benjamin Ryclynck.

Quant au style, je suis très intéressé par la musique des années 60 comme le Garage ou la Pop baroque, le Punk des années 70 comme celui des Buzzcocks ou des Jam… Mais ce que j’aime le plus, c’est le Rhythm’n’Blues et la Soul depuis mes 11/12 ans. Toutes ces influences se retrouvent dans Dreef. J’essaie de créer un ensemble homogène à partir de toutes ces influences variées tout en teintant mes morceaux d’une nostalgie et d’une mélancolie. Tout cela se retrouve dans l’univers esthétique de Dreef qui est un hommage à la Flandre maritime. Dreef signifie « petit chemin » en flamand.

Sinon, deux nouveaux singles viendront prochainement compléter notre stand de merch’, ainsi qu’un EP. Le prochain album est en cours de mix et je suis à la recherche d’une distribution. J’essaie d’être le plus productif possible. Vous pouvez écouter Dreef sur Bandcamp, Spotify, YouTube, Deezer et beaucoup d’autres plateformes. Pour les pré-commandes des sorties physiques, je vous invite à m’envoyer un mail via Bandcamp et je me ferai une joie de vous envoyer un petit colis. »

Peut être un dessin animé de texte

Pour suivre Dreef : https://www.facebook.com/dreefband