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#TPAMU - Damoclès

Régulièrement, une formation des Hauts-de-France viendra se présenter et parler de son actualité. C’est le principe de notre rubrique Touche Pas à Mon Underground. Désormais, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas les soutenir et ne pas aller les voir en concert ! Cette fois-ci, nous avons laissé la parole à Damoclès.

Une rubrique proposée par Chris Kilmister.

 




Damoclès a vu le jour il y a trois ans, suite à la rencontre entre un bassiste (Baptiste) et un jeune guitariste (Tristan) ayant tous deux une envie commune : faire du bon gros Metal. La recherche d’un batteur nous a permis de rencontrer Simon (batterie / 2nd voix), dont l’énergie s’est directement confondue avec la nôtre. Clément (guitare) nous a rejoint un peu en parallèle, étant très proche de Baptiste, et là, comme avec Simon : coup de foudre musical. Mais faute de vocaliste, Tristan abandonne la guitare pour prendre le poste de chanteur.



Le nom du groupe évoque la mythologie grecque avec l’histoire de Damoclès, un mythe très intéressant, qui nous apprend tant à ne pas juger les décisions d’autrui sans connaître ses contraintes, mais également à ne pas convoiter le pouvoir de manière bête et naïve.

Pour l’écriture des morceaux, c’est comme un brainstorming… mais avec nos instruments. Chacun propose une idée, un riff, un thème, et les autres viennent ajouter leurs touches, leurs idées… nous évitons au maximum de laisser une seule personne tout composer, c’est ce qui nous permet d’avoir notre propre son. Ce qui nous aide aussi, c’est la diversité de nos influences, il y a le Nu-Metal, évidemment, mais également le Black, le Death, le Ska, le Punk, l’Indus… il y en a même en dehors de la sphère Metal, nous écoutons vraiment de tout. Mais si l’on devait nommer nos plus grosses influences, il y aurait Korn, System of a Down, Gojira et un peu de Limp Bizkit. 



Notre inspiration, lorsque l’on écrit nos morceaux, c’est la souffrance (très Emo dit comme ça…). Nous avons chacun connu des soucis de santé mentale, des périodes pas très agréables et cela nous sert de moteur. Ce que l’on veut, c’est que les gens écoutent notre musique et se sentent concernés, qu’ils arrivent à s’identifier à ce qu’ils écoutent, qu'elle leur sert aussi de moyen de se défouler et d’extérioriser tout ça.




En décembre dernier, nous avons sorti notre premier album sur lequel nous avons bossé pendant deux ans et qui nous a poussé à travailler avec des tonnes de personnes du milieu artistique. Ce fut une expérience super sympathique, bien qu’un peu éprouvante pour un jeune groupe comme le nôtre.




Actuellement, nous avons pas mal de projets en cours, mais également pas mal de problèmes. Nous avons dû nous séparer récemment, de manière temporaire et à durée non déterminée, de notre bassiste pour des raisons propres (mais aucune tension), et tentons d’en trouver un nouveau afin de pouvoir reprendre les concerts, voire de réenregistrer. Nous en avons peut-être trouvé un, mais nous n’en dirons pas plus pour l’instant ! Nous souhaiterions aussi faire pas mal de feat. avec des artistes de la scène plus ou moins locale et de styles différents, écrire des morceaux qui viennent mélanger les styles et surprendre l’auditeur. Des versions physiques de l’album sont également en prévision, mais les délais sont assez longs, et ce n’est pas gratuit ! 




Pour l’instant, aucune date de concert n’est prévue, nous voyons passer pas mal d’annonces et avons pas mal de contacts qui nous permettraient de jouer un peu partout, mais nous préférons rester concentrés sur la résolution des problèmes actuels pour pouvoir délivrer des concerts de qualité.








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