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BENOIT CRETEUR • DARK GLASS Alpha Omega 900

Dernière mise à jour : 4 févr.

Tous les deux mois, la rédaction se rencarde à Euroguitar avec l’un des musiciens phares de la région. Plus qu’un complément d’interview, la rubrique nous permet d’en savoir plus au sujet de ces musiciens qui rythment la scène locale et sur leur passion pour la musique. Cette fois-ci, c’est Benoit Creteur à la fois bassiste au sein de Stengah et Goatless Whaam! qui a joué le jeu !

Par Axl Meu.

Tu viens d’essayer trois basses…

Les trois basses que j’ai essayées sont sensiblement différentes… La Corvette de chez Warwick correspond typiquement au type de basse que j’aurais bien voulu à mes débuts ! La polyvalence n’est pas son fort, c’est vrai, mais pour le coup, ça reste une très bonne basse quand on sait mettre la main à la poche. Par la suite, j’ai essayé une Fender, la Precision Bass, le gros classique quoi ! Il y a vraiment ce gros côté clinquant qui ne laisse personne indifférent. Enfin, j’ai branché une Ibanez, de type SRMD 200k, et franchement, pour 300 €, je crois qu’on ne peut pas faire mieux en termes de finitions et de caractère.

 

Tu as branché tes basses sur une tête Dark Glass, Alpha•Omega 900, qui est clairement ce qui se fait de mieux aujourd’hui en matière d’amplification. Es-tu du genre à t’intéresser à tout ce qui sort ?

Oui, je suis pas mal l’actualité. Au sein de mes groupes, on est tous un peu techniciens… Nous sommes très attentifs à ce qu'utilisent les groupes actuels, mais on reste fidèles à nos amplis à lampes pour créer ce mélange old/new school. Et selon moi, rien ne peut remplacer la chaleur des amplis à lampe ! Du coup, j’essaie d’allier les deux, associer le classique à l’analogique de sorte à faire la différence. Les bassistes de la nouvelle génération ont certes un très bon son, mais franchement, je trouve qu’ils ont tous le même !


Quelle est ta conception de la section rythmique, notamment avec Stengah ?

Je tiens à garder ce son « rond » qui, je pense, me caractérise. D’ailleurs, je pense que ça se marie bien avec la grosse caisse d’Eliott (Williame, ndlr). Quand on joue, par moments, on a vraiment l’impression que c’est sa grosse caisse qui lance mes notes de basse. Ça requiert un certain sens de la communication cela dit, de sorte à créer cette fameuse cohésion à laquelle on inspire.

 

Les parties de slapping n’étouffent jamais le propos de Stengah… C’est une façon pour toi de respirer ?

Oui, voilà, je n’inclus pas spécifiquement des parties de slap si ça dessert la musique. En général, 70% de mes parties de basse sont du « débit » de lignes. Le reste, je m’en sers pour mettre en relief l’ensemble. En fait, je suis très attaché au rôle principal du bassiste, celui qui consiste à garder la baraque. C’est pareil pour Goatless Whaam! dans lequel notre guitariste se livre à des expérimentations Jazz tandis que notre batteur et moi nous efforçons de tenir la baraque !

 

Stengah est actuellement sur son prochain album. Peux-tu nous donner quelques infos ?

Il est entièrement fini ! Il sortira cette année… Ce nouvel opus s’inscrira directement dans la suite logique de ce que nous avions proposé sur Mechanic Of The Sphere notre premier EP, déjà paru en 2016. Plus le temps file, plus on a hâte de vous le faire découvrir !

 

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Stengah : stengahproject

Goatless Whaam! : goatlesswhaam



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